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Après 1 an de crise, quelles sont les tendances immobilières à Bruxelles ?

Posté par Michael Lombaerts le 28 avril 2021
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Un an après le début de la crise du coronavirus, comment se porte le marché bruxellois ? Le point sur la situation et les tendances avec Michael Lombaerts, cofondateur de Sylver Properties. 

Quel a été l’impact de la crise du coronavirus ? 

A la fin du premier confinement, on a vraiment eu un effet rebond. Ça a été vraiment de la folie ! Par contre, avec le deuxième confinement, ça a été beaucoup plus mitigé. Déjà d’une part parce que le message n’était pas très clair sur le fait que l’on puisse faire des visites ou non, mais aussi parce que la période était moins propice à l’immobilier.

Et dans les recherches des acheteurs potentiels ?

On a pas mal de gens qui nous contactent pour laisser leurs critères de recherches. Je dirais que de manière générale, ce qui revient, c’est l’envie d’un espace extérieur, une terrasse ou un jardin. Le fait d’avoir de la place dans le bien pour pouvoir créer un espace bureau est aussi quelque chose qui est revenu plusieurs fois. 

Les bruxellois cherchent-ils à quitter la ville à tout prix ? 

On a vu beaucoup dans les médias “l’exode des bruxellois”, mais je dirais que nous, on ne l’a pas ressenti aussi fort. On a quelques demandes. Il y a toujours eu des gens de Bruxelles qui cherchent en périphérie, du côté du Brabant Flamand, Brabant Wallon ou du Hainaut aussi. 

Les prix des biens à Bruxelles vont-ils s’écrouler ? 

On avait dit au début de la crise du coronavirus que les prix allaient chuter mais on s’est finalement rendu compte que c’est tout à fait l’inverse. On a jamais aussi bien vendu qu’à la fin du premier confinement !

Mon avis, c’est que cela va continuer. Tant que les taux sont bas, les gens voudront et continueront toujours à acheter. Et tant qu’il y a beaucoup d’acheteurs, le marché va continuer à grimper. L’événement qui pourrait vraiment impacter le marché, c’est l’accès à l’emprunt immobilier. Si les conditions changent, exemple au niveau des quotités (fonds propres), soit ce que la banque peut prêter, taux qui augmentent. Cela peut avoir un impact sur le prix. 

Il est donc possible de vendre de plus en plus cher ? 

Le marché évolue. Mais c’est surtout dans les délais de vente qu’il y a un changement, beaucoup de biens se vendent rapidement. Si un vendeur souhaite vendre son bien, c’est inutile d’espérer vendre 20 000 à 30 000 euros au-dessus de la valeur du marché, sous prétexte que c’est le covid. Les futurs acquéreurs restent les pieds sur terre, même si dans certains cas, cela peut s’envoler. 

Les acquéreurs veulent acheter, mais pas à n’importe quel prix. Ils se renseignent avant de venir visiter et de faire une offre, puisqu’une offre reste un engagement

Un projet ? Nos agents immobiliers sont à votre écoute pour répondre à vos questions.

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