Découvrons l’équipe – Nathalie
Bonjour Nathalie, alors nous sortons tout juste du confinement et c’est la fin du premier mois de reprise. Peux-tu nous expliquer comment tu as vécu le confinement et comment abordes-tu les choses ?
Alors le confinement m’a apporté pas mal de réflexions et cela m’a permis de me recentrer un peu sur moi-même, niveau pro et perso. D’adapter ma situation, une meilleure gestion du temps et aussi de faire avancer mes projets professionnels. Je pense que ça a été un moment opportun pour mettre en place de nouvelles choses.
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Bien, tu as plus ou moins bien vécu ce confinement. Pourrais-tu te présenter en quelques mots et surtout pourquoi l’immobilier ?
Oui bien sûr, je suis Nathalie et ça fait une dizaine d’année que je suis dans l’immobilier. Lorsque j’ai débuté dans l’immobilier, je n’avais aucune connaissance technique du métier et personne dans mon entourage qui était dans l’immobilier. Une toute nouvelle aventure, un nouveau challenge. Dès que j’ai commencé à exercer, très vite une passion est née. Aujourd’hui ça l’est encore plus.
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Très bien, au départ qu’est-ce qui t’a attiré dans l’immobilier ? Pourquoi t’être dirigée vers ce secteur? Que faisais-tu avant ?
En soi, j’ai travaillé pendant presque 10 ans dans la grande distribution en tant qu’employée et j’avais ce sentiment d’être constamment enfermée. Je suis quelqu’un qui aime beaucoup voyager, bouger et surtout voir le soleil se lever et se coucher. Ce qui m’a attiré, au début, est le fait de pouvoir visiter des biens, qu’on ne voit que dans des films et surtout avoir un contact avec des clients. J’ai besoin au quotidien de communiquer, partager et enfin, le côté challenge. J’ai mis 1 an et demi avant de prendre ma décision jusqu’au jour où je me suis dit « je plaque tout et j’y vais ».
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Donc ça c’était il y a plus ou moins 10 ans. Ensuite quel a été ton parcours ?
Mon parcours est assez classique, 3 ans d’étude à l’efpme à Bruxelles. En même temps j’étais en stage dans une agence, je faisais essentiellement de la location. Au terme de mon parcours à l’efpme, j’ai voulu me lancer dans la vente. J’ai, du coup, changé d’agence. Cela n’a pas toujours été évident, surtout la première année car quitter un emploi pour lequel on perçoit tous les mois un salaire , des primes, des congés payés, tout est prévu, il n’y a pas de surprises. Cela a été difficile de quitter un emploi confortable pour se retrouver tout en bas de l’échelle en tant que stagiaire avec 475€ par mois tout en continuant à payer mes charges mensuelles. De plus, elles avaient augmentées car à l’époque j’ai du acheter ma première voiture pour pouvoir me déplacer en rendez-vous. C’était un challenge que je voulais relever. Je me suis surpassée, j’ai mis les bouchées doubles, je me suis donnée à 200% même si je devais souvent travailler 7j/7 parfois jusqu’à 14h/jour. C’était le challenge que je m’étais lancé et aujourd’hui je l’ai réussi et j’en suis très contente. Aucun regret et si c’était à refaire, je le referais.
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Merci pour ce partage. J’ai cru comprendre que tu lançais ta marque, après 10 ans et surtout en période de confinement. La plupart des gens resteraient dans leur zone de confort et toi tu as pris la décision de sauter le pas pour lancer ta marque, un choix audacieux.
Alors pourquoi après 10 ans, je pense qu’il n’y a pas de timing calculé… Au départ je ne pensais pas forcément me lancer et créer ma marque. C’était une idée que j’avais dans le coin de ma tête sans délai défini. Aujourd’hui j’ai décidé de prendre mon envol car il faut parfois faire des choix afin de pouvoir encore plus s’épanouir. Après avoir pas mal bourlingué et occupé différents postes dans différentes agences, la suite logique était de représenter mes propres couleurs. Le confinement m’a permis de me recentrer et de pouvoir prendre cette décision. J’ai prouvé par mon expérience que j’étais capable de me lancer. J’ai eu pas mal de contacts, de belles propositions. Mais il y a un groupe qui a particulièrement retenu mon attention. Keller Williams est selon moi, le meilleur compromis. Le modèle Keller Williams (Ndlr: qui est unique en Belgique) m’apporte une structure, un encadrement, du coaching, des formations tout en développant ma marque, mes couleurs et mon équipe. C’est le bon matching. Du coup je ne suis pas seule, je fais partie d’un réseaux international tout en ayant ma liberté de créer ma propre structure et ça, aujourd’hui, en Belgique, aucune agence, réseaux, groupes, ne proposent cela. C’est vraiment l’avenir de l’immobilier.
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Parfait, merci pour tout. Un petit mot pour la fin ? que peut-on te souhaiter ?
Que ça fonctionne bien, que les gens continuent à me faire confiance comme ils le font aujourd’hui. Ma priorité, c’est avant tout être là pour aider les gens, rendre service et les conseiller au mieux parce que chaque dossier est unique. L’accompagnement dans chaque étape du projet est également une priorité. Pour la suite j’aimerais également développer mon équipe.